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mercredi 6 juin 2012

Venez me voir à l'expo!

Mon jeu Du bonbon pour les oreilles sera présenté à notre expo de finissants!

Jeudi et vendredi de cette semaine aura lieu l'expo des finissants du DESS en Design de Jeux de l'UdeM. Notre groupe va y présenter plusieurs jeux vidéo et jeux de table que vous pourrez essayer.

Vous pourrez aussi essayer Astromancie, le jeu de notre équipe AlphaMetaBeta.


Quoi?

Jouer à des jeux vidéos et des jeux de table!

Quand?

7 et 8 juin à 17h30 jusqu'à 23h

Où?

Locoshop Angus. 2600 William Tremblay, Montréal (plan). Près du Métro Préfontaine.

Plus d'infos?



J'ai hâte de vous voir à l'expo! Venez essayer nos jeux!

mardi 15 mai 2012

Mon avis après 2 mois de grève



Je ne suis pas du genre à être très "politique" ou revendicateur sur les internets, mais les événements des derniers mois m'obligent un peu à sortir de mon trou.

Je suis en grève depuis très exactement 2 mois et je suis particulièrement fier de l'être. Je ne fais pas la grève parce que je ne veux pas payer la hausse. Ça serait absurde de ma part puisque je suis à ma dernière année universitaire. Je ne fais pas la grève parce que je ne veux pas payer; je fais la grève parce que l'éducation c'est important, et que l'université, comme l'école primaire et secondaire, devrait être beaucoup moins chère qu'elle ne l'est présentement. Je ne fais pas la grève pour moi maintenant; je fais la grève pour les générations futures. Je fais la grève pour que plus de gens aillent à l'école, qu'ils gagnent de meilleurs salaires, qu'ils soient plus riches et payent plus d'impôts pour à leur tour financer les écoles des générations futures. Collectivement, on y serait tous gagnants.

Je n'ai par contre pas toujours été de cet avis. J'étais, au départ, farouchement contre la grève. Je ne voulais surtout pas étirer inutilement ma session. Je trouvais ça absurde de faire une grève pour des frais de scolarité que je ne payais même pas moi-même.

Mais rapidement, après même pas 2 semaines, j'ai changé d'avis. Après m'être renseigné sur le conflit, sur les positions et sur les enjeux, je me suis rendu compte que cette grève représentait exactement le genre d'idées et de valeurs que je revendique habituellement.

Je me suis aussi rendu compte qu'il y avait du louche dans les actions des autorités. Le recteur de l'UdeM, le gouvernement et les autorités ont tous utilisé des manoeuvres douteuses et des tactiques déloyales pour arriver à leurs fins. Il y a eu les injonctions. Il y a eu les doubles messages et la propagande pour tenter de plaire à la population. Il y a eu les tentatives de minimiser ou ridiculiser le mouvement. Heille! J'ai fait des études universitaires, mais le gouvernement nous parle comme s'il s'adressait à des enfants de 5 ans qui veulent des bonbons! Quand même!

Il est temps que les gens se réveillent. En fait, je suis même convaincu que si plus de gens étaient allés à l'université, ils ne seraient pas aussi bornés et le gouvernement aurait plié depuis longtemps. C'est justement pour ça que c'est important que l'éducation soit moins chère: pour que les gens soient mieux éduqués et se fassent moins avoir!

Ce que je veux dire, c'est que ça va me faire PLAISIR de payer plein d'impôt par année pour financer une éventuelle gratuité scolaire. Je risque même de payer assez d'impôt pour rembourser, chaque année, l'équivalent de tout ce que j'aurai payé en frais de scolarité au total dans ma vie! Je vais être content de savoir que mon impôt va servir à envoyer plus de jeunes à l'université.

Après ça, qu'on vienne me dire que les étudiants en grève «ne pense qu'à eux». Je me demande vraiment quel camp est le plus «socialement responsable»?

mercredi 8 février 2012

Défi design: Un jeu à propos de la conciliation travail-famille

Aujourd'hui, dans le cadre de mon cours de design systémique, nous avons eu à faire un exercice de design d'un jeu sérieux (éducatif) qui enseigne la complexité de la conciliation travail-famille. Voici la proposition que notre équipe a présentée.

Titre: «Save the your world»

Type: RPG

Inspiration pour l'univers:

  • Univers inspiré de celui de Fable
  • Le joueur contrôle une équipe de personnages comme Dragon Age

Idée de départ:
Nous avons remplacé le concept travail-famille par une analogie similaire: Une équipe qui doivent explorer des donjons pour ramasser de l'argent pour faire vivre leur famille. La conquête de ces donjons devient l'analogie pour le travail.

But du jeu:
Apprendre la conciliation travail-famille par la découverte et l'expérimentation des mécaniques du jeu. Le joueur incarne un personnage qui doit sauver le monde ET défendre sa famille. Échouer à l'un ou l'autre de ces buts mène à l'échec.

Déroulement du jeu:
Le jeu est découpé en 2 phases de jeu: la complétion de quêtes et le temps passé avec sa famille. Comme dans les RPG traditionnel, le joueurs contrôle une équipe de personnages. Ces personnages veulent réussir des quêtes pour accumuler des trésors (argent) et des ressources (équipement) et ainsi augmenter leur satisfaction personnelle (bonheur). Cependant, chacun de ces personnages a aussi une famille et ces familles ont des besoins à combler. Les personnages devront donc renoncer à certaines quêtes pour aller passer du temps avec leur famille. Cependant, ils doivent tout de même compléter certaines quêtes pour assurer la protection des familles contre les attaques des monstres, ainsi que maintenir un salaire suffisent pour assurer les besoins et le bonheur de la famille.

Le joueur devra donc mener son équipe dans les donjons tout en prévoyant que certains personnages devront rester à la maison dans leur famille et ne pas participer à la quête. Il faudra choisir quels personnages doit venir et quels personnages peut prendre des vacances.


Le joueur devra maintenir une balance entre les ressources suivantes:
  • Argent (de 0 à infini)
  • Bonheur des personnages (en %)
  • Bonheur des familles des personnages (en %)
  • Équipement et pouvoir (objets achetable)
  • Temps passé dans les quêtes (en minutes)
  • Sécurité du village (en %)

Utilisation de chaque ressources:

Bonheur des personnages
Le bonheur des personnages agit un peu comme la motivation ou l'énergie qu'ont les personnages. Lorsque leur bonheur est à son maximum, les personnages sont au meilleur de leurs performances. Ils attaquent plus fort et se défendent mieux. Plus les personnages passent de temps dans les donjons loin de leur famille et plus le bonheur des personnage diminue. Lorsqu'il est à zéro, le personnage est inefficace en combat. Il doit aller voir sa famille pour récupérer.

Bonheur des familles
Chaque personnage a une famille avec des besoins. Lorsque ces besoins sont comblés, le bonheur de la famille augmente. Les familles ont besoin de 2 choses : d'argent pour faire leurs achats courant et de temps que les personnages doivent passer avec eux. Le personnage doit verser une allocation à chaque mois (ou à chaque fin de mission) à sa famille pour la faire vivre. Verser un montant insuffisant fait diminuer le pourcentage de bonheur. De plus, chaque personnage doit passer du temps avec sa famille. Passer trop de temps dans les donjons fait diminuer le bonheur de la famille.

Équipement
Les personnages peuvent utiliser les trésors (argent) trouvé dans les donjons pour acheter du meilleur équipement. Un meilleur équipement permet d'être plus efficace dans les donjons et donc de devoir passer moins de temps dans les quêtes, ce qui permettra de passer plus de temps en famille.


Argent
Tel que dit précédemment, l'argent sert à deux choses: acheter du meilleur équipement et payer les allocations pour la famille. L'argent est obtenue en explorant les donjons. Lorsque les personnages découvrent un trésor d'argent, ils obtiennent un boost de bonheur temporaire, ce qui leur permet d'explorer un peu plus le donjon.

Sécurité
Les monstres attaquent le village. Si on ne complète pas les donjons assez vite, ils vont venir détruire le village et les familles. La ressource "sécurité" agit comme régulateur dans le système, pour empêcher le joueur de seulement passer du temps avec la famille sans compléter les donjons.

Choix
Le joueur a plusieurs choix à faire et c'est en expérimentant avec ces choix qu'il va comprendre le système et comprendre la difficulté de la conciliation travail-famille. Voici quelques exemples de choix que le joueur devra faire:

Exemple #1:
J'ai 1000$. Est-ce que j'achète une meilleure épée qui augmentera le bonheur de mon personnage ainsi que ses performances au combat? Si oui, est-ce que j'aurai assez d'argent pour payer l'allocation à ma famille à la fin du mois? Est-ce que je prend le risque d'acheter l'épée en espérant ainsi que mes meilleurs performances vont me permettre de finir le donjon assez vite pour gagner l'argent nécessaire pour payer l'allocation?

Ici, parce que le temps dans le donjon est limité et que l'argent est limité, le joueur doit faire un choix en prenant compte de plusieurs facteurs (temps, argent, bonheur du personnage, bonheur de la famille)

Exemple #2:
Je suis presque à la fin du donjon. Si je le termine, je vais avoir un gros trésor qui me permettra de passer beaucoup de temps avec ma famille. Mais j'ai déjà passé beaucoup de temps dans le donjon et le bonheur de mes personnages est presque vide. Est-ce que je prend le risque de finir le donjon ou est-ce que je ne devrais pas plutôt me contenter de ce que j'ai déjà et retourner à ma famille sans terminer le donjon. Il faudra alors le recommencer.

Ici, on pourrait imaginer une mécanique de "crunch time" qui permet au joueur de poursuivre l'exploration du donjon même si ses personnages n'ont plus de morale. Cependant, l'utilisation du crunch time a un effet très négatif sur le bonheur de la famille du personnage et il mettra longtemps à récupérer.



En résumé
Ce jeu serait donc un RPG traditionnel auquel on ajoute une multitude de choix significatifs que le joueur devra faire. Il devra balancer le temps de travail (temps dans les donjons) et le temps familial de ses personnages. Passer du temps dans les donjons permet d'assurer la sécurité de la famille et de trouver l'argent nécessaire pour assurer leur survie, mais il ne faudra pas non plus passer trop de temps à faire des quêtes sinon le bonheur des personnages et le bonheur de leur famille sera diminué. Il s'agira ici pour le joueur de prendre en considération de multiples facteurs lorsqu'il prendra ses décisions.

Conclusion
Évidemment, on n'a eu que 40 minutes en classe pour compléter ce court exercice de design de système. C'est donc évident que le système est incomplet. On peut déjà voir que certaines idées sont probablement trop complexes inutilement et qu'on pourrait simplifier le tout. Cependant, on voulait justement éviter de faire un système trop binaire (à la Fable ou Mass Effect avec leur système de moralité binaire). Si on voudrait poursuivre l'idée dans un vrai jeu, il faudrait prendre le temps de bien balancer chaque système. Ça serait pas mal complexe, mais si c'est le but du projet, ça pose un beau défi intéressant.

lundi 26 septembre 2011

Lettre à mon ancien prof de musique remplaçant

À mon prof de musique remplaçant au secondaire, qui avait les cheveux roux frisés attachés en queue de cheval,

Vous avez donné des cours à un groupe de percussions, en parascolaire sur l'heure du diner au alentour de 2001 ou 2002. J'étais dans ce groupe. Vous ne vous souvenez probablement pas de moi. J'étais celui qui a brisé une baguette durant le concert de Noël. J'étais celui qui dérangeait, qui parlait aux autres étudiants pendant vos explications, ou qui manquait parfois des répétitions sans raison. En fait, vous m'aviez même mis à la porte du groupe vers la fin de l'année après que j'ai manqué une répétition particulièrement importante. À l'époque, j'étais vraiment fâché, mais ce n'est pas vraiment de ça dont je veux parler maintenant.

Vers le milieu de l'année, bien avant mon expulsion, vous nous aviez apporté une nouvelle pièce avec des rythmes latins. J'avais jusqu'alors été plutôt bon aux percussions en rythmes réguliers 4/4 mais cette pièce avait un rythme étrange qui m'était totalement extra-terrestre. Je jouais la cloche à vache dans cette pièce. Ma partie était en fait le rythme de base de la pièce et j'étais donc peut-être l'instrument le plus important du groupe, celui qui donnait le tempo et le rythme aux autres.
Mais ce rythme n'était vraiment pas facile. Même après l'avoir pratiqué pendant 2 ou 3 séances en cubicule, je n'arrivais toujours pas à l'exécuter. Il s'agissait d'un enchaînement discontinu de frappes, aligné sur une série de 4 triolets. Je n'avais jamais vu ça de ma vie et j'étais bien incapable de «compter» mentalement ce rythme particulier. Mon cerveau n'arrivait pas à comprendre la séquence. Pour moi, les frappes sur la cloque avaient l'air d'apparaître de façon aléatoire, même après avoir étudié les 7 notes intensivement. Mon cerveau refusait de voir la logique derrière, probablement parce que j'essayais de le comprendre en mode 4/4.

De mémoire, ça ressemblait à ça (ma notation n'est probablement pas correcte). Il s'agit de 4 triolets de croches:


Ce dont je me souviens parfaitement bien, c'est du moment où j'ai finalement compris. Tous les autres du groupe étaient partis et vous me donniez une leçon particulière. Ce soir-là, vous avez passé probablement plus de 20 minutes à me jouer les même 4 triolets, les même 4 temps, sur la cloche. Vous me faisiez taper dans les mains pour suivre le rythme. Et soudainement, il y a eu un déclic. Je ne peux l'exprimer autrement. Un instant, mon cerveau ne voyait aucune logique. L'instant d'après, les temps sont venus s'aligner de façon ordonnée et j'ai finalement «compris» le rythme de la pièce.

Avec le recul, je ne pense pas avoir jamais vécu un tel «déclic mental» à l'école ailleurs que durant cette soirée-là. Ça n'a pas été facile. Vous étiez probablement tanné de jouer le même rythme de 4 temps pendant 20 minutes en comptant la mesure. Vous étiez probablement fatigué de m'entendre jouer tout croche. Mais ça a porté fruit et j'ai par la suite parfaitement assimilé le rythme de cette pièce. Et je l'ai joué de façon, je crois, plutôt bien lors du concert de Noël (celui où, sous l'excitation, j'ai brisé ma baguette tellement je tapais fort sur ma cloche!)

* * *

Hier dans l'autobus, j'écoutais la soundtrack du jeu Scott Pilgrim vs The World - The Game (sur Xbox Live Arcade et PS3). Il y avait une pièce en particulier que je trouvais intrigante parce qu'elle avait une sonorité «vacance à la plage», mais je n'arrivais pas à comprendre pourquoi. Ce n'était pas vraiment causé par les instruments puisqu'il ne s'agissait que de synthétiseurs très lo-fi. Ce n'était pas non plus la mélodie, puisqu'elle était assez ordinaire. Après un moment, j'ai réalisé que c'était le rythme latin de la pièce qui faisait cet effet. Mieux encore, il ressemble même beaucoup au rythme que vous avez passé tant de temps à m'apprendre.



J'étais très content d'avoir réussi à identifier ce rythme, et d'avoir pu percer le «secret» de la pièce.

Je sais qu'on ne s'entendait peut-être pas très bien durant les cours, mais je voulais quand même vous dire merci pour ça.

vendredi 22 octobre 2010

La saga de mon diplôme (et pourquoi je m'en fous)

Finir son baccalauréat et recevoir son diplôme, c'est pas quelque chose de commun. C'est un événement important. On fête ça en grand. On va à une cérémonie où tout le monde est habillé avec la toge et on reçoit notre diplôme de la part du recteur de l'université. Tout le monde est content. Tout le monde sourit. C'est la concrétisation de 3 années de dur labeur et d'étude acharnée. Y'en a qui pleurent de joie. C'est la reconnaissance tant attendue. C'est tout ça et bien plus.

Ok, mais alors, pourquoi je m'en fous?

La cérémonie de remise des diplômes est tombée pendant que mes parents étaient en voyage en Europe. Mes amis n'y allaient pas parce qu'ils étaient tous encore en deuxième année. Je ne connaissais personne. J'ai dit: «bof, ça me tente pas full. Je m'en fous pas mal anyway.»

Ils ont envoyé le diplôme par la poste. Pour ceux qui n'ont jamais eu de diplôme universitaire par la poste, je vous explique. Ils t'envoient ça dans une grosse enveloppe géante et cartonnée. Du gros papier jaune épais et solide. À l'intérieur, y'a deux gros cartons pour empêcher l'enveloppe d'être pliée et donc empêcher que le diplôme soit abîmer. Y'a aussi une brochure pour ceux qui veulent faire encadrer leur diplôme. Y'a des options d'encadrement de 50 à 300$, avec de la petite cuirette et un fini en acajou et une bordure en argent et de la reliure en or et des diamants partout! (non, j'exagère pour les diamants, mais le reste est vrai)

Et le diplôme? À quoi il ressemble? Euhm..... ben, je ne m'en rappelle plus trop. Je l'ai à peine regardé. Il était fait avec du beau papier j'imagine. Et il y a sûrement le sceau officiel de l'université et des signatures officielles pour aller avec. Oui, c'est probablement ça qu'il y a dessus. Mmm, je m'en souviens à peine.

Et ensuite? Ensuite, qu'est-ce qu'on fait avec un diplôme? Je ne vais certainement pas payer la moindre cenne pour le faire encadrer avec de l'acajou et de la petite cuirette!

Non, sérieux, je ne savais pas trop quoi faire avec. Je l'ai laissé traîner sur la table de cuisine. Bon, je l'ai au moins remis dans la grosse enveloppe avec les cartons pour ne pas qu'il se fasse abîmer, mais c'est tout! Il a traîné là une semaine. En fait, c'était la deuxième semaine qu'il passait sur la table de cuisine. La première semaine, c'était avant d'ouvrir l'enveloppe. Je ne l'ouvrais pas parce que je savais ce qu'il y avait dedans (mon diplôme) et que ça ne m'intéressait pas. Ma mère le bougeait à chaque jour sur la table en espérant que je le vois. C'est quasiment si elle a pas mis des lumières de Noël dessus pour attirer mon attention. Évidemment, je l'avais vu mais je ne l'ouvrais pas.

Après avoir traîné une deuxième semaine sur la table de cuisine (ça c'était après l'avoir ouvert), ma mère s'est écoeurée et m'a dit de le ranger ailleurs. Alors, je l'ai pris et je l'ai mis sur le buffet à côté de la table. Elle n'était pas contente. Alors je l'ai pris et je l'ai mis sur le piano. Je pense que, cette fois-ci, elle ne m'a pas vu faire parce qu'elle n'a rien dit.

Il a passé une troisième semaine sur le piano dans la cuisine. Ensuite, ma mère s'est écoeurée et l'a mis dans «le tas». Pour ceux qui ne savent pas, le tas c'est, comme son nom l'indique, un tas de patentes et de gugusses qui traînaient et que ma mère met dans un tas dans le corridor. Là dedans y'a des manteaux, des bas, des vieux papiers, des journaux, des dictionnaires, des sacs de linge sale, des souliers, des formulaires d'inscription au tarif réduit de la STM, des balles de tennis, des batteries rechargeables, des étuis à caméra, des sachets de biscuits vides et... mon diplôme! Le tas -- cette entité vivante, grossissante, qui bouge et qui se reproduit parfois -- avait avalé aussi mon diplôme. Ça devenait un peu embarrassant.

Là, vous vous dites sûrement «mais pourquoi tu ne le rangeais pas à sa place, ton maudit diplôme?!»

Ouain......

C'est que, voyez-vous, un diplôme c'est gros. C'est genre ben plus gros que toutes les feuilles de papier que vous avez utilisées dans votre vie! Pis en plus, il faut pas le plier! (Ça serait ben le comble de le plier, après que l'université ait mis autant d'efforts, de cartons et d'enveloppe jaune épaisse pour le protéger des pliures!) C'est tellement gros, un diplôme, que ça ne rentre pas dans aucun tiroir, aucun classeur, aucune armoire. Sérieux, c'est vraiment gros! Genre gros comme une télé HD au plasma! Je savais vraiment pas où le mettre.

Finalement, après plusieurs autres semaines à traîner dans le tas, mon diplôme a disparu. Ma mère avait enfin trouvé une place pour le ranger. Je pense que je sais où c'est. J'ai pas vraiment été vérifié. Je l'ai dit: je m'en fous!

Un diplôme c'est juste un papier. C'est un papier qu'on affiche sur le mur pour péter de la broue. J'ai pas fait 3 ans d'université juste pour avoir un papier pour l'encadrer dans un fini acajou et velours et péter de la broue pendant le reste de ma vie. J'ai fait 3 ans d'université pour apprendre des trucs. Et les trucs que j'ai appris, je les ai appris, peu importe si y'a un papier qui dit que je l'ai appris ou pas.

jeudi 15 avril 2010

Révélateur à l'ONF

Révélateur, 2010
L'année dernière, dans le cadre de mon cours Pratique Vidéographique, j'avais réalisé un court métrage vidéo en équipe avec une autre fille du cours. Le film s'appelait Révélateur et avait comme thématique l'ennui et les choses que notre cerveau fini par s'imaginer à force d'attendre. Récemment, le prof, Nelson Henrick, nous a contacté parce qu'il organisait une projection de courts métrages étudiants à l'ONF. Et voulait avoir notre film dedans. Pis ça, c'est hot!

Pour ceux qui voudrait venir, voici les informations::

Aïe  aïe  aïe, la relève!
30 avril à 19h
Lieu : Cinérobothèque de Montréal
1564 rue St-Denis (métro Berri-Uqam)
billet pour le programme : 5$ à la porte
Plus d'info: http://www.onf-nfb.gc.ca/fra/cinerobotheque/detail-horaire.php?id=2032
Encore plus d'info: http://www.onf-nfb.gc.ca/fra/cinerobotheque/detail-horaire.php?id=2063

Notre film:
Révélateur
2010
Images: Natalia Solis
Son: narF
Format vidéo DV
4m36s

lundi 7 décembre 2009

Travail 1 de 4 terminé!

C'est le temps de se faire une petite victory danse de godzilla!



Malheureusement, je viens de faire une nuit blanche alors je n'ai pas beaucoup d'énergie pour ça. Et maintenant, il faut que je combatte la tentation d'aller niaiser sur internet. Le prochain travail étant à remettre jeudi (et n'étant pas commencé), c'est pas comme si j'avais vraiment full de temps à perdre!

(update: J'ai fini!!!)

mardi 1 décembre 2009

Adieu

Bon, c'est le moment de prendre une décision drastique.

Je soussigné narF m'engage solennellement à lâcher Facebook et Twitter jusqu'à la remise de mon dernier travail de fin de session, soit dans environ 2 semaines. Je vais aussi essayer de limiter mes visites sur Tiny Cartrige, YouTube, Google Wave, Questionnable Content, xkcd et tous les sites niaiseux que j'arrête pas de visiter. Tout cela dans le but, bien sûr, de pouvoir finir mes travaux à temps.

Je vais probablement pas full updater ce blogue, mais je vais continuer d'updater mon status facebook et twitter à partir de Ping.fm, donc sans devoir véritablement aller sur ces sites (genre à partir de mon iPod).

Merci de votre compréhension, et n'hésitez pas à me chicaner si vous me voyez perdre mon temps sur internet. En particulier jouer à Bejewled Blitz sur Facebook!!! Entre temps, vous pouvez me contacter par courriel évidemment. Ça je vais continuer de les prendre 800 fois par jour de façon maladive.

Souhaitez moi bonne chance. Ça risque d'être chaotique!

lundi 17 août 2009

Look around you! Music!

Je ne sais pas trop c'est quoi. On dirait une parodie des vieilles cassettes qu'on écoutait dans les cours de science au secondaire. Mais en tout cas, c'est très drôle! On dirait les Monty Python...

mardi 28 juillet 2009

Foutu cancer...

Je commence à avoir sérieusement peur du cancer. C'est genre la maladie qui fait le plus de ravage et dont il n'existe à peu prêt pas de remède ni de moyen véritable pour la prévenir. Tsé, le sida aussi est assez horrible mais on sait au moins comment ne pas l'attraper. Le cancer, ça apparaît par surprise. Et les recherches ne sont pas assez avancé pour qu'on sache comment le prévenir ou le guérir.

Ça fait 3 personnes relativement proches de moi qui sont mort du cancer récemment. Mon prof d'anglais super cool du secondaire à 61 ans, la soeur d'une amie de ma soeur d'un cancer du cerveau à 28 ans(!) et un jeune collègue du bureau de mon père (qui est mort en même pas 1 mois de maladie!).

Je sais pas là mais moi ça commence à me faire peur. J'ai l'impression que notre mode de vie actuel est à blâmer, avec toutes les cochoneries chimiques qu'on utilise. Les maisons neuves sont maintenant pleine de colle, dans les murs et les isolants, qu'on respire. Y'a cette foutue histoire de bouteilles d'eau en plastique qui donne le cancer. Y'a le soleil qui donne le cancer de la peau. Et tous les agents de conservation et trucs louches qu'il y a dans la bouffe qu'on achète. Rien de tout ça n'est particulièrement facile à éviter. Et je ne suis pas un hippie qui mange juste du bio là! Loin de là. Mais j'essaye de faire attention au moins un peu.

En ce moment, les scientifiques et chercheurs sont penchés sur la question. Ça fait même des années qu'ils travaillent là-dessus, en coopération à travers le monde. Mais c'est énormément complexe. Mon père m'a résumé un article dans la revue Science et c'est incroyable comment c'est compliqués les cancers! C'est pour ça qu'il faut encourager la recherche. Si vous avez un peu d'argent, j'imagine qu'il existe des places pour faire des dons...

lundi 4 mai 2009

Comment triompher des travaux de session

Il y a quelques semaines, c'était ma fin de session d'université. J'avais 4 travaux d'analyse de film à faire, plus un examen d'analyse. Laissez-moi vous dire, j'en ai mangé de l'analyse pendant les 3 dernières semaines de ma fin de session. Je suis donc rendu l'expert pour faire des analyses complexes tout en sachant les faire rapidement.

Truc #1:: Tout répéter 2 fois
Ça semble niaiseux mais c'est normal : les correcteurs de travaux sont plutôt niaiseux. Alors, pour faciliter leur compréhension de votre texte, il faut faire simple et répéter tout 2 fois. On écrit une phrase et ensuite on écrit une autre phrase qui reprend la même idée que la première phrase, sauf avec un peu plus d'explication ou de précision. Pourquoi on doit faire ça? D'abord, parce que c'est un bon moyen d'étirer son texte pour remplir plus de page. Ensuite, si vous ne le faite pas, le prof va sûrement vous écrire "expliquez" sur une phrase qui n'avait pas besoin d'explication (les profs sont épais). Donc, si vous répétez tout 2 fois, le prof ne pourra pas écrire "expliquez" parce que c'est déjà expliqué. Ça lui enlève une oportunité de vous enlever des points.

Truc #2:: Bullshiter!
À l'université, plus le cours est avancé ou plus le prof est fou, plus il faut bullshiter. C'est même voulu et recommandé et les profs donnent des points pour ça! Il ne faut pas hésiter à voir des liens complètement fous entre le film et une théorie métaphysique ou philosophique. Il faut juste être capable de bien l'expliquer (en répétant tout 2 fois). Si vous faite l'analyse d'un film où une caméra fixe filme un appartement avec rien dedans, n'hésitez pas à en faire une comparaison avec l'histoire de l'art, le théorie de l'évolution de Darwin ou l'encapsulation psychologie de l'être humain de la société moderne.

Truc #3:: Faire du plagiat!
Tout le monde le sait, il ne faut pas faire du plagiat sinon vous pouvez vous faire expulser de l'école. MAIS, si vous faite du plagiat et que vous citez votre source, alors ce n'est plus du plagiat, c'est une citation! Conclusion, allez trouvez d'autres analyses que d'autres gens ont faites sur le même sujet que vous et piquez toutes leurs idées. Non seulement vous n'aurez pas besoin de vous casser la tête mais en plus, le prof va vous donner des points parce que vous avez faite une "bonne recherche documentaire".

Truc #4:: Trouver des bonnes citations
Supposons que vous faites une analyse sur le thème de la famille dans un film quelconque. Allez à la bibliothèque et tapez "famille" dans une recherche par sujet. Prenez un livre au hasard et rendez vous sur la tablette où il se trouve. Regardez sur la tablette les autres livres autour de lui. Il s'agit de livres ayant un sujet similaire. Recherchez celui avec le titre le plus complexe du genre "La famille anthropomorphique et circontemporel, de Pythagore à Nietzsche". Prenez aussi le livre qui a l'air le plus vieux et poussiéreux. Ouvrez les au milieu à n'importe quel page et lisez quelques pages de chacun. Ça devrait soit vous donnez des idées de trucs à dire dans votre analyse, soit vous fournir des bonnes citations juteuses et imcompréhensibles comme les profs les aiment bien. En prime, plus votre citation est incompréhensible, plus vous aurez besoin de répéter beaucoup de phrases, ce qui vous remplis rapidement beaucoup de pages! Mais attention : il faut éviter de choisir des citations au début du livre sinon le prof va se douter que vous ne l'avez pas lu.

Conclusion
Vraiment, ce n'est pas compliquer de faire un travail d'université! Il suffit de beaucoup bullshiter, de dire n'importe quoi et de faire des liens tordus avec des grands auteurs ou des philosophes célèbres. L'important est de bien expliquer et de beaucoup répéter pour que les profs niaiseux vous comprennent. Rappelez-vous de ces trucs lors de votre prochaine fin de session!

mardi 23 décembre 2008

Le résultat de la conception sonore (de narF et son équipe)

Haïku::
Écran bucolique
film auto-référenciel
rapport désynchro



Ceux qui suivent mon twitter savent à quel point j'ai ragé en faisant le projet de conception sonore de mon cours d'esthétique du son. Le projet de départ ne m'enchantait pas énormément et nous (notre équipe de 3) avons eu quelques difficultés, surtout à cause d'un manque d'inspiration. Avec le recul, je pense que c'était normal qu'on aille trouvé que les 5 extraits proposés par le prof était plate, puisqu'un film sans son, c'est pas mal plate!

Le projet consistait à sonoriser un extrait de film (je vous en avais déjà un peu parlé), ici le début de Des ombres sur la neige, afin de créer du sens, tout en concervant le fil conducteur du cinéaste original. Mais comme on n'avait pas accès à la tête du réalisateur, on a dû trouver nous même un sens nouveau.

Puisque le film parlait d'un gars qui était un peu perdu dans sa tête et qui avait de la misère à organiser ses souvenirs, on a choisit de lui brouiller un peu les idées en saturant l'espace sonore. Et nous avons appuyé le grain et les parasites de l'image par des parasites sonores. Donc au final, je suis quand même assez fier du résultat et du travail accomplis, même si je n'aime toujours pas le film qui en résulte. M'enfin.

Qu'est-ce que vous en pensez?

lundi 24 novembre 2008

narF cognitive sans dormir (ce verbe n'existe pas)

Haïku::
Travail de session
Cognition des émotions
et compréhension

J'ai passé toute la semaine dernière à lire des livres de psycho pour y dénicher des notions de cognitivismes pour mon travail de Théorie du Cinéma. Après avoir remplis plusieurs pages de notes de lecture, j'étais prêt à me lancer dans la rédaction. C'était hier, après le souper. Le travail était à remettre aujourd'hui et il fallait que je me lève à 6h.

Ça a très bien été pour écrire. J'avais passé toute la journée à boire du thé (toujours la même poche), rendu au soir, j'était rendu aux cafés expresso faibles. Moi qui ne boit jamais de café, ça m'a réveillé un bloc!

Vers 4h30, j'ai eu terminé. Mais je faisais face à un dilemne. Est-ce que je serais mieux d'aller dormir, même si peu, ou bien de rester éveillé? J'ai finalement choisi de dormir, mais le temps d'aller me coucher, il ne me restait plus qu'une heure de sommeil. Et j'ai mis 15 minutes à m'endormir à cause de mon overdose faible de caféïne.

Je suis donc allé à mon cours de Cinéma Expérimental ce matin, où j'ai vu un très bon film de Michael Snow (So Is This, un film muet et sans image, juste des mots). Vraiment, je le trouve cool Michael Snow (c'est un réalisateur expérimental canadien) et je riais peut-être même un peu trop fort des jokes dans le films. Mais j'avais dormir juste 45 minutes alors ça explique...

J'ai ensuite survécu lors du cours de théorie du cinéma. Ce cours là, même avec une batterie chargée et un thé, on s'endors. Ça n'a pourtant pas été trop mal.

Maintenant, pouvez-vous m'expliquer comment ça se fait que je suis pas encore couché? Je viens de passer à travers une deuxième journée d'affilée sans trop de dégâts. Mais je me sens un peu bizarre. Je pense que je suis en train de faire une overdose d'adrénaline. J'imagine que c'est avec ça que j'ai passé la journée.

Oh... et il faut que j'écrive les dialogues de mon scénario pour demain. Voyons! On n'est même pas encore en fin de session!

jeudi 20 novembre 2008

Super Égocentrique narF

Haïku::
Montez ma moyenne 
Péter des scores pas si hot 
Faites donc ça pour moi 

J'aimerais bien pouvoir rentrer dans un programme hot. C'est un DESS en design de jeux. Le seul problème, c'est que c'est hyper contingenté comme la mort qui tue. Ça me prend donc des bonnes notes, une bonne cote R.

À l'université, ceux qui sont là pour faire leur bac sont là uniquement pour avoir leur diplôme et partir ensuite. Ils n'ont pas besoin d'avoir des bonnes notes. Mais moi oui.

Sérieux, vous devriez coopérer un peu. Faites un petit effort pour avoir des moins bonnes notes, pour que je puisse être très très au dessus de la moyenne et ainsi avoir une bonne cote R. Ce n'est pourtant pas trop demandé.

Pochez vos examens! Vous pouvez ben faire ça pour moi, non? En plus, c'est même assez facile à faire.

lundi 14 janvier 2008

narF aux résidences mange du beurre de peanut

Haïku::
Protocole oblige,
ce pain devra être beurré
de beurre de peanut.

La semaine passée, j'ai déménagé à ma chambre aux résidences de l'université. Et quoi de mieux pour inaugurer un nouveau studio que de manger une toast au beurre de peanut protocolaire.

Par ce que, oui, évidemment, j'ai mon kit complet pour déjeuner avec autant de sandwiches au beurre de peanut que je veux. C'est assez primordial, n'est-il pas?

Le seule problème, c'est qu'il y a un très contraignant détecteur de fumée. Et donc, j'ai rapidement été forcé de mettre mon grille-pain à la plus faible intensité. Sinon, gare au bip-bip stressant!

Et vive le pain à moitié grillé!

mercredi 9 janvier 2008

narF contre le fantôme de l'école!

Haïku::
Hou! Hou! Un fantôme!
Ou peut-être un gars macho?
Ou... ou... je sais pas...

Durant mon cours aujourd'hui, nous avons été interrompu plusieurs fois par un bruit. Et comme la prof semblait déjà plutôt nerveuse, ça n'a fait qu'empirer la situation.

Il aurait semblé que quelqu'un sifflait. Comme un gars macho qui siffle une jolie fille. Et personne ne semblait savoir d'où ça provenait. On aurait dit que le bruit venait de partout en même temps.

La prof, après avoir fait un autre petit rire nerveux, a conclut que c'était probablement un fantôme. Très rassurant...

Ça n'a pas cessé. Quelqu'un dans la classe devait se trouver très drôle de constamment interrompe le cours ainsi. Mais le cours s'est poursuivit jusqu'à la fin. On a fini par l'ignorer.


Ce n'est qu'au moment de sortir dehors que je me suis rendu compte qu'il ventait très fort aujourd'hui...

vendredi 21 décembre 2007

narF revient à moitié finalement mais annonce son déménagement

Haïku::
Totalement malade
Faire des siestes toutes les 4 heures
Fièvre soporiphique

Mon tapon de père m'a donné son rhume/grippe. Et comme la dernière fois, ça me fait dormir beaucoup. Après environ 4 heures debout, la fièvre me pogne et je m'endors. À un point tel que, malgré le fait que j'ai joué environ 1 heure à Sin & Punishment aujourd'hui, ma Wii me dit que j'ai joué 2h30. Ça c'est parce que j'ai fait une petite sieste en mettant le jeu sur pause.

Et donc, pour toute ces raisons, mon retour grandiose sur l'internet s'est fait plutôt discret. Pas cool hein?

Cependant, j'en profite pour annoncer que je vais rentrer aux résidences de l'université de montréal en janvier. C'est comme un appart mais ben moins cher! Mais en faisant, ça, je vais surtout économiser les 4 heures de transport par jour que je faisait actuellement pour aller à mes cours. Donc, plein de temps libre en janvier pour faire plein de projets de brigade!

En attenant, vous allez peut-être avoir un beau cadeau de Noël si je n'oublie pas de mettre en ligne ce que j'ai préparé.

lundi 17 décembre 2007

narF reviendra bientôt

Haïku::
On part le chrono
Oh, it's the final countdown
Dans T moins 3 jours

Oh yeah! C'est officiel! Mon retour sur l'internet est prévu pour le 21 décembre.

En attendant, si vous voulez vraiment me rendre fou de rage, de frustration et de jalousie, vous pouvez aller acheter NiGHTS into Dreams sur la Wii. Ça fait 10 ans que j'attends ce jeu et une stupide dissertation de fin de session m'empêche de sauter dessus.

Oh et en passant, information superficielle et inutile : Lau, les 2 tapons et moi avons réussit à faire un puzzle de 192 morceaux sur la chaîne photo de la Wii. Et en 42 minutes en plus! Vous êtes jaloux?

Sur ce, à vendredi!

dimanche 18 novembre 2007

narF parle d'école et d'un peu n'importe quoi

Haïku::
Petit compte rendu
Fin de session et brigade
Torture virtuelle

Tranquillement pas vite, j'entre dans ma fin de session. Et je sens que les nuits blanches vont commencer à vraiment devenir communes. Dissertation, visionnement de films et projet de montage. Tout ça commence à pleuvoir en même temps. Donc, ouais, je risque d'être moins présent dans ce coin-ci de l'internet.

Comme pour en rajouter dans la torture, les compagnies de jeux décident évidemment de sortir tous leurs produits merveilleux en même temps, c'est-à-dire maintenant. Alors non seulement je dois écouter des vieux films noirs et blancs (ils sont drôles mais quand même vieux), mais en plus je dois me retenir d'acheter Mario Galaxy, Zack & Wiki ou le nouveau Zelda qui vient avec le zapper. Est-ce que Nintendo a entendu parlé de cette chose occulte et étrange qu'on appelle la "fin de session"? Faudrait leur en parler. Ils sortiraient leurs jeux durant l'été. En attendant, je les ai tous mis sur ma liste de Noël!

Pour ce qui est de la Brigade SnW, j'imagine que je devrais raconter qu'il y a pleins de bonnes choses qui s'en viennent mais c'est faux. Les choses qui s'en viennent sont réservés aux membres hauts placés et doivent être tenues secrètes. C'est même tellement important qu'on doit faire un pause de podcasts pour les prochaines semaines.

samedi 8 septembre 2007

Crouler sous les coïncidences : narF trouve ça hot mais demande que ça s'arrête

Haïku::
Des coïncidences
tombent sur ma tête comme des roches
qui tombent du ciel

Sérieux c'est mental!

J'ai appris cette semaine que AtnNn, un de nos membres mystérieux sur le forum, était l'ami d'un de mes amis d'université, mais qu'il me connaissait déjà sans que je le sache pour m'avoir parlé au cégep (je n'en conserve que de très vague souvenir).

J'ai appris cette semaine que j'avais déjà rencontré (sans le savoir) la fille dont nous a parlé Dominick au Rire-au-thon, celle qui veut partir un club d'anime à JBM et qui a déjà capturé mon frère, parce qu'elle a joué un rôle dans notre film d'otakuthon À NOTRE INSU!!!

J'ai croisé cette semaine une personne que je ne croyais jamais revoir. J'ai en effet appris que la fille du groupe de danse Haruhi à qui on a parlé (c'est aussi dans notre film d'otakuthon en passant) est étudiante à l'université de montréal dans le même foutu programme que moi.

Maintenant, pouvez-vous S'IL VOUS PLAIT, ne pas venir me voir pour me dire que vous me connaissez d'une manière étrange, ou du moins, attendre à la semaine prochaine?