En matière de poésie, je suis assez pointilleux habituellement. Si ça n'a pas été écris pas un des «grands auteurs», je n'aime pas trop. Pas parce que ça ne porte pas le sceau d'Émille Nelligan mais juste parce que j'aime pas trop et que je trouve ça bizarre.
Je dis ça en particulier avec la posie à 5¢ qu'on retrouve souvent dans les blogues et sur les petits sites personnels. (en disant ça, je pense à mon poème de couleur sur mon site et j'ai honte d'avoir écris ce truc pas beau). Souvent, je constate dans ces poèmes rapides que y'a un but, une intention, une émotion mais (désolé) je trouve ça pas beau. Probablement parce qu'ils n'ont pas été travaillé autant que ceux de [placer le nom du grand auteur dont j'ai oublié le nom ici] qui pouvais prendre des mois pour écrire un seul poème (source : mon prof de français)
Évidemment, comme tout ce que je dis souvent quand je chiale, j'espère me tromper! Et aujourd'hui, j'ai constaté que c'était le cas. J'ai trouvé de la belle poésie sur une page personnelle (dans ce cas ci, un blogue).
Un certain Pascal a posté un commentaire dans mon blogue. Constatant que (1) je savais pas c'était qui et que (2) il avait un blogue, je me suis empressé d'aller le lire et c'est là que j'ai tombé sur Quand une cellule crie dans le vide... que je vous invite à aller voir.
Je suis touché...
RépondreEffacerMerci